Théorie de la résistance structurelle
La résistance structurelle représente la résistance du sol à la déformation pour une charge au début de la rupture de sa structure interne. Avec un coefficient décroissant m, la réponse du sol tend à être linéaire.
Si la résistance structurelle est prise en compte lors du calcul du tassement, alors :
a) la zone d'influence est caractérisée par la profondeur sous le fond de la semelle où l'augmentation de la contrainte verticale σz devient égale à la résistance structurelle du sol (déterminée en multipliant la contrainte géostatique d'origine σor par le coefficient m):
où : | m | - | coefficient de résistance structurelle |
σor | - | contrainte géostatique initiale (d'origine) |
b) lors du calcul du tassement d'une couche, l'augmentation de la contrainte verticale σz due à la surcharge et réduite par la résistance structurelle du sol est obtenue par :
où : | m | - | coefficient de résistance structurelle |
σor | - | contrainte géostatique initiale (d'origine) | |
σz | - | contrainte additionnelle au milieu de la couche |
et le tassement s découle alors de la contrainte (zone hachurée sur la figure) et est donné par :
où : | m | - | coefficient de résistance structurelle |
σor | - | contrainte géostatique initiale (d'origine) | |
σz | - | contrainte additionnelle au milieu de la couche |
Profondeur de la zone d'influence basée sur la théorie de la résistance structurelle (la zone de surcharge effective est hachurée)
Littérature :
Československá státní norma ČSN 73 1001 Zakládání staveb, Základová půda pod plošnými základy, 8.6.1987, Český normalizační institut 31060, Praha